Depuis une semaine, je traverce les forets de suède. Je suis maintenant à Umeå, demain, je prend un ferry pour Vassa et la Finlande.
Mais je dois maintenant aller au port pour prendre mon bateau tôt demain matin… les photos vont venir !
















Depuis une semaine, je traverce les forets de suède. Je suis maintenant à Umeå, demain, je prend un ferry pour Vassa et la Finlande.
Mais je dois maintenant aller au port pour prendre mon bateau tôt demain matin… les photos vont venir !
This article is in english as I want locals to understand. Désolé pour ceux qui ne comprennent pas l’anglais. And the ones who don’t know french will be happy !
After Östersund, I am not anymore in the mountains. I am now riding accross hills cover by forest of pines, firs and birches. Between these hills, there are numerous big lakes.
All these landscapes have been formed by glaciers during the last ice-age. More of the lakes are long and narrow in a valley and retain by the front moraine of the old glaciers. The moraine hills, formed of sand and gravels, prevent the river to flow, and a side pass have been found by the water, creating waterfall on the rocks.
This was the case on the Ragundasjön, which ended by strong rapids. Here, forestry have been a main activity from centuries. And people used the water stream to carry the wood downstream. The waterfall was then a main problem as it breakes the trunks. The, people were trying to create side pass for the wood, in order to prevent the trunks to break in the rapids.
Let’s read some more explanation on this picture…
This is not a picture….
The ingeneer Vildhussen, has the smart idea of using the stream of a small creek to erodate the moraine.
But during the floods season of 1796, the water began to take the side pass created for the wood, eroding more deeply the moraine. And the lake was emptied in 4 hours… flooding all the land downstream.
Now the waterfall do not exist anymore, and the rocks the water was falling on are called the dead waterfall.
This is an old story but… There is an other lake upstream, the Indalsälven, with a similar geology.
The Indalsälven is retained downstream by a moraine. This moraine is formed by a serie of small hills and several small lakes in the between. These hills are not high up of the lake level, only some meters, and are formed by sand and gravels. These could be eroded easily…
But today, we don’t use anymore the water stream to carry the troncs, we use trucks. We do not employ anymore a lot of people to cut the trees, we use heavy machines. And theses heavy machines erodes soils…
Today the environment agency on the swedish gouvernment assess there is a risk that the story of the dead waterfall heppens again, with Indalsälven, because of the forestery erosion… The newspaper telles about the risk of erosion of the Indalsälven moraines, and the restrictions taken by the gouvernment to prevent it. (you can use google translate to get it in bad english or ugly french). onsite, we do not see so much, just what I tells, the hills are not high and are subject to easy erosion… Some geophysical studies may be needed in order to know how deep is the bedrock and better assess the risk.
There are basically nobody in these hills to ask about their perception of the risk. My guide in the museum does not looks to feel the risk is so huge.
J’arrive en Suède à Funäsdalen. Là j’apprend qu’il y a une petite route dans les montagnes qui va vers Östersund, où j’a iprévu de visiter des gens de WarmShowers. Cette petite route est la plus haute de Suède, près de 1000m, c’est à dire 300m au dessus de la limite des arbres… Je n’hésite pas et je monte ! Avant même que je soit en haut, je me fais rattraper par le pluie et les nuages. Je n’ai aucune vue ! Le landemain après midi, alors que je suis plus bas, le temps se dégage un peu… Je continue ma route et arrive à Östersund le 7. Je passe un bon moment avec mes hôtes suédois !
Le 25 août, je quitte les fjords à Skjolden, c’est la fin de mon escapade au bord de la mer et le début ce celle dans les montagnes. Le temps change aussi… Une pluie glaciale se met à tomber. Je quitte silvio au col (1430m). Moi je vais rester camper dans les montagnes. Lui va redescendre au chaud. J’ai aussi envie de retrouver ma solitude… Près du col, je vais m’engager sur un piste pour aller camper près du lac de storevatnet, à 5 km de la route. Il y a encore des névés qui coupent la piste et sur lesquels je doit pousser le vélo. Je monte ma tente sous la pluie, sur une petite plateforme tourbeuse. J’ai décidé garder mon campement en place demain et de faire une fause de vélo pour explorer les environs pied. Je me réveille et la pluie tombe encore… Je suis dans les nuages et il n’y a aucune vue. Après un petit dej’ dans le vent et la bruine, la pluie se remet à omber plus drue, je me réfugie dans ma tente… J’écris un peu et me demande pourquoi je reste dans les montagnes… Mais en début d’aprèm, il y a une belle écraircie et j’en profite pour faire sécher mes affaires, manger et faire une ballade de 3 heures sur les rochers, avant que le soir et le pluie ne reviennent. Les photos sont prises durant cette écrairecie !
Après ma journée en montagne, je redescend vers Lom. Puis Vågåmo, Sel et Dovre. A Dovre je prend une route de graviers pour remonter dans les montagnes ! Direction Folldal. Je decsend la vallée vers Alvdal puis remonte vers Tynset et Røros.
Je passe la soirée su 31 août invité ches des WarmShowers (un réseau de voyageurs à vélo) à Ålen. Ils me conseille une petite route de montagne qui permet d’accéder à une cabane ouverte sur les plateaux. J’y vais et passe ainsi deux jours de plus en Norvège !
En repartant de Stavanger, je n’ai plus d’abjectif précis. Je commence par continuer vers le nord le long des côtes, ou plutôt d’île en île, car la côte est ici faites de miliers d’îles reliées par des ponts des tunnels ou des ferries (En vélo, pas de tunnels. Ou alors il faut les prendre avec un bus !). J’ai pris le bus pour passé deux tunnels (et un ferry) à la sortie de Stavanger : entre Mortavika et Arsvågen Kro.
Je continue ma route de ferry en ferry. Je passe une soirée et nuit dans une maison d’été, avec un motard rencontré sur un des beteaux !
J’arrive ainsi à Bergen, où je passe une après midi. Je m’achète des cartes routières (pas si facile à trouver) et je visite la ville. Je n’ai pas pris de contacts ou réservé d’hébergement dans la ville. C’était sûrement une erreur car il faut alors fuire la ville avant le soir. En me promenant je vois beaucoup de t-shert de Métalica, je comprend plus tard qu’ils sont en concert ici ce soir ! Moi je quitte la ville lorsque la pénombre s’installe… Sans peur du la lumière qui change, je traverces les parcs, et plante ma tante dans un pré à l’équart du tumulte citadain.
Je remonte ainsi vers le nord jusqu’à l’entrée du Sognefjorden, le plus long fjord de Norvège (et d’Europe), qui s’enfonce dans les terres sur 200 km. A l’entrée, je rencontre un autre cycliste, Silvio un allement en Norvège pour un mois de vélo. On « remonte » le Sognefjorden ensemble durant 3 jours.
Nous suivons une petite route au sud du fjord. La route principale est au nord. La route du sud s’arrête à Ortnevik. De là, un ferry permet de regagner la route principale. Un bateau va aussi à Vik, en restant sur la rive sud, ce qui évite la grande route. C’est un petit bateau qui ne passe qu’une fois par jour. On ne connaît pas l’horaire et nous arrivons 10 minutes avant son heure de passage ! C’est un bateau-bus qui fait hatle à de petits embarcadaires sur demande : il faut pour cela allumer une lanterne prévue à cet effet.
près une nouvelle journée de vélo le long du Sognefjorden, nous arrivons à Urnes avec un tout petit ferry. Là se trouve là plus vieille église en bois debout de Norvège (classée au partimoine de l’unesco) la Stavkirke d’Urnes. J’en fais une visite très intéraissante, avec un guide passionné !
Les nuages annoncent le temps qui va changer. Demain il est prévu qu’il se mette à pleuvoir. Demain je vais aussi quitter la mer pour gravir les montagnes …
Je suis à Bergen, mais je ne vais pas pouvoir écrire un vrais article de suite… cela ve venir !
Lundi 10 aout au matin, je rapars de chez Troels, direction Hirtshals pour embarquer vers la Norvège. J’arrive peu avant 16h, il y a un ferry à 17 mais le temps de trouver le quichet de la bonne companie au milieu du port, il est trop tard. Je vais prendre un bateau demain matin. Je vais cherché le wifi avec une glace en térasse, et j’ai mon billet. Il n’y a plus que des places en 1ère classe : je voyagerais en première avec buffet !
Après un bivouac au milieu des sapains, à quelques km du port, je reviens au port et attend pour l’embarquement. J’accroche mon vélo avec un tendeur tout au fond de la cale, qui s’emplie de voitures.
On approche des côtes de Norvège, le paysage est totalement différent de celui du Danemard. Plus de dunes ni de pleines.Des cailloux s’avancent dans la mer, la terre est faite de rochers et de collines.
Le mardi 11 vers midi, je débarque à Kristiansand, je cherche des cartes puis je part vers le Nord. J’ai du mal à sortir de la ville. Les indication des itinéraires cyclables ont elles aussi changées. Elles sont très éparses, très vite, je ne m’y fie plus. Je roule le long des fjords, ici plus rien n’est plat.
J’ai prévu arrivé pour le week-end à Stavenger où je vais rejoindre Cyril. Le mercredi 12 au soir, je me dis que je n’y arriverais jamais vendredi soir… La route monte, descend, monte…je ne vais pas vite, je suis souvent en dessous de 10km/h. J’ai fais 75 bornes aujourd’hui et 60 km hier.
Je suis globalement la véloroute de la mer du nord, qui m’emmène parfois sur des pistes de gravier. A un moment je ne suis plus l’itinéraire et j’ai peur d’arriver sur une voie rapide interdite aux vélo. D’après la carte, une route qui rejoint celle que je pensais prendre, en dominant un fjord. je m’y engage… mais cette route devient rapidement une mauvaise piste de montagne. Il n’est pas facile d’y rouler avec un vélo de 50kg.
Je m’habitue aux paysages magnifiques, aux pentes raides et aux pistes de graviers. Je suis la route 44 à partir de Flekkefjord, entre rochers lacs et fjourds.
J’ai abandonnée l’idée d’arrivé à Stavanger Vendredi soir. Vers midi j’arrive à Egersund. Mais peu après la ville, le paysage change totalement ! J’arrive dans des plaines côtières. Un fort vent du sud, chaud, me propulse entre 30 et 40 km/h sur les routes devenues prèsques plates ! Cela me change des 5 km/h du matin. Je décide de bourriner et d’arriver à Stavanger avant la nuit. Dans cette plaine, les champs sont séparées par d’imposants mures fait de gros blocs arrondis par les glaciers. Ceux-ci doivent servir à la fois à couper le vent, et à débarasser les champs et prés de leurs cailloux.
J’arrive à Stavenger vers 20h, je rejoint cyril. Je viens de faire 140 km, dont une partie en montagne ce matin. Après une douche et une bonne soupe, on est partis pour aller rejoindre des amis de cyril à une soirée. Il se met à pleuvloir, depuis 10 jours, je n’avais eu que du soleil ! Il pleut tout le week-end. Je passe un week-end calme avec cyril, soirée avec des loceaux, ballades, bonne bouffes…
Je vais maintenant reprendre la route vers le nord en direction de Bergen. Mon chemain sera entrecoupé de ferry pour travercer les fjords qui s’avancent ici de plusieurs dizaines de km entre les montagnes.
Lundi 3 août, je me réveille dans un pré à Lundun.
Je suis encore fatigué de ma semaine.
Je vais visité Friedrichstadt, ce qu’on m’a conseillé dans le train
Je rejoint rapidement la côte pour faire le tour de la presqu’île de Nordstrand. Je m’initie au vélo-moutons.
Je suis maintenant sur le Véloroute 1, c’est à dire une partie de l’EuroVélo 12 : le tour de la Mer du Nord. Je roule entre mer et lac …
Je bivouac à la belle étoile, sur la digue face à la baie et aux herbus. Je dort pas très bien, trop chaud et mon chapeau moustiquaire à du mal à résister à la fois au vent et au nuage de moustique qui s’invite au dessus de moi.
Au réveil le temps est gris, je continu encore avec les moutons sur la digue, puis entre dans les terres. Je fais quelques courses juste avant la frontière danoise, pour payer en Euros. Il se met à pleuvoir, j’entre au Danemark sous la pluie, par une petite route. Je ne sais pas quand j’ai passé la frontière !
Cette journée se finira dans la pluie, par un bivouac dans un pré. Je passe une longue nuit qui me fait grand bien. Je n’ai ensuite eu que du soleil !
Après Ebsjerg, je traverce une forêt vers l’ouest. Le paysage change totalement. La côte n’est plus faite d’herbus et de vase, mais elle est marquée par une ligne de dune, et côté mer par d’immens plages.
Je poste ces article de Fjerritslev, chez les parents de Troels où je l’ai rejoint. Je viens de passé ici une journée de repos. A visiter un peu, et a vivre à la danoise.
On est déjà presque en Août, je je veux être dans le nord avant l’automne, je décide – décision difficile – de tricher en traversant l’Almagne en train. J’ai ouïe dire au sujet d’un billet qui permet d’emprunter tous les trains régionaux d’Allemagne durant une journée – avec vélo autorisé – pour 45€. Après avoir regarder les horaires, je décide d’aller jusqu’à Karlsruhe en vélo et d’y prendre des trains vers Hambourg. Je passe voir des amis, et passe la nuit de vendredi à samedi à Strasbourg, je repart -trad- le long du Rhin, côté Allemand- vers Karlsruhe où je voudrais arrivé avant la nuit. Je suis un itinéraire cyclable et me perd un peu entre le Rhin, les canaux et les gravières. Je veux rejoindre la route, mais je tourne plus d’une heure, et arrive toujours sur l’eau… Je décide de camper ici dans un pré, je me lèverais avant le soleil pour rejoindre Karlsruhe et être sûre d’avoir le train de 8h. Celui de 6, ce sera difficile…
J’ai mis mon réveil à 4h, je démonte rapidement la tente couverte de rosée, mange un bout et je reprend la route. Je me perd encore un peu le long du Rhin et décide de passé par les routes et non de suivre l’itinéraire cyclable.
J’arrive à la gare de Karlsruhe avant 7h. Le point info est ouvert et j’obtiens des horaires pour rejoindre Husum (sur la côte vers Hambourg) vers 21, peu avant la nuit. C’est compter sans les retard des trains régionaux qui font rater la correspondance !
Je descend finalement des trains peu avant 1h du mat’ à Lunden, un petit village où je pense qu’il sera plus facile de trouvé un endroit où dormir à cette heure tardive. Je sort du village endormi et trouvé un pré fauché entouré d’arbres. C’est ma chambre ! Je n’ai pas assez dormis la semaine passée, et je viens d’avoir une journée de 22h… Je m’écrase dans mon duvet… Au nord de l’Allemagne !
Je passe une semaine en Alsace. Je passe chez le médecin, je fini des mail et des petites choses pour ma thèse, je revois des amis. Je pensais resté 3-4 jours, je reste finalement 7 jours ! de samedi 25 à vendredi 31. Tartes flambées, petite ballades vers les châteaux, bières, bosser à l’ordi, et finir mes sacoches pour mon « vrais » départ. Je fini la semaine bien fatigué ! Je me suis levé tôt et me couché tard…
Voici un article de blog écrit par mon coloc d’une semaine, à qui j’ai accordé une interview. Il y a bien sûre quelques approximation, comme « Tant que j’ai de l’eau, la chaleur ça me dérange pas » devient : « la fraîcheur «à vélo, c’est très important». »